Retentionsanlage mit Rigolen

Entre de vieux murs : une installation de rétention avec des rigoles conçue et réalisée avec délicatesse

Installation de rétention avec rigole - Référence construction à Zoug avec vue sur le lac

Tous les lieux ne sont pas simples. Et toutes les solutions ne sortent pas des manuels. À Zoug, sur un très beau terrain en pente, nous avons pu réaliser une installation de rétention avec rigoles qui était particulière à plus d’un titre : non pas sur une surface libre, mais à l’intérieur des anciens murs de la cave d’une maison démolie. Au milieu de l’existant, entre histoire et nouveau départ. Pas de place pour les solutions standard – mais de l’espace pour le soin, l’expérience et le véritable artisanat.

Une installation de rétention particulière avec des rigoles à Zoug

Tous les lieux ne sont pas simples. Et toutes les solutions ne sortent pas des manuels. À Zoug, sur un très beau terrain en pente, nous avons pu réaliser une installation de rétention avec rigoles qui était particulière à plus d’un titre : non pas sur une surface libre, mais à l’intérieur des anciens murs de la cave d’une maison démolie. Au milieu de l’existant, entre histoire et nouveau départ. Pas de place pour les solutions standard – mais de l’espace pour le soin, l’expérience et le véritable artisanat.

Qu’est-ce qui fait d’une installation de rétention avec des rigoles un défi ?

Aujourd’hui, la rétention des eaux de pluie n’est plus un “nice to have” – c’est une condition préalable dans de nombreux endroits. Mais la surface n’est pas toujours grande, le temps long ou l’environnement ouvert. En particulier dans les bâtiments existants, lorsque les structures existantes doivent être conservées ou utilisées, la question se pose de savoir comment intégrer une installation de rétention de manière à ce qu’elle fonctionne – sans faire exploser le bâtiment existant.

Les maîtres d’ouvrage et les concepteurs privés, en particulier, se posent alors souvent ces questions :

  • L’espace est-il même suffisant pour une rétention avec des rigoles ?
  • Une telle installation est-elle économiquement viable dans l’existant ?
  • Quel est le coût – en termes de planification et de construction ?
  • Et : existe-t-il des solutions fiables qui ont fait leurs preuves dans des conditions plus complexes ?

Dans l’existant plutôt que dans le neuf : la situation à Zoug

Le cadre était clair : une maison existante a été démolie et le nouveau corps de bâtiment devait suivre. Mais au lieu de placer l’installation de rétention sur un terrain inutilisé, elle a été réalisée à l’intérieur des anciens murs de la cave. Une solution qui respectait l’existant tout en étant fonctionnelle.

Les dimensions parlent d’elles-mêmes :
3,20 x 8,00 x 0,66 m – pour un volume de 16,23 m³.

Une installation de cette taille nécessite de la précision, non seulement lors de l’installation, mais aussi dès la planification. Sur place, il a été décidé de réaliser le puits d’étranglement à l’extérieur, dans un puits en béton séparé. Une décision qui s’est avérée judicieuse et pratique, notamment en termes d’accessibilité et de maintenance.

Reconnaître les défis – et les transformer en opportunités

Dans un projet comme celui-ci, on voit à quel point il est crucial de se poser les bonnes questions en amont. Contrairement aux nouvelles constructions, où tout commence “sur le terrain”, l’existant apporte son lot d’impondérables. Le terrain est défini, l’espace limité, les conditions du sol pas toujours évidentes.

Dans ce cas, ce n’est souvent pas la taille de l’installation qui est déterminante, mais son adéquation. Dans quelle mesure s’intègre-t-elle à ce qui existe déjà ? Quelle est sa souplesse d’adaptation à la réalité du terrain ?

Notre réponse : avec de l’expérience, de la mesure – et un certain pragmatisme. Deux de nos spécialistes faparain se sont rendus personnellement sur place et ont réalisé eux-mêmes toute l’installation du système. Pas d’équipe suprarégionale, pas de sous-traitant anonyme. Mais des collaborateurs qui connaissent leur travail – et savent quand la technique seule ne suffit pas.

Coûts, efforts, avantages – comment calculer une rétention dans l’existant ?

Les coûts sont toujours un sujet de préoccupation, surtout lorsque la situation d’installation est complexe. On craint souvent que des solutions spéciales entraînent des dépenses nettement plus élevées. Et oui : une rétention avec des rigoles dans l’existant n’est jamais l’option la moins chère. Mais dans de nombreux cas, c’est la plus judicieuse.

Parce que

  • Le stock est utilisé au lieu d’être ignoré.
  • Il n’est pas nécessaire de procéder à des transformations ou à des démantèlements coûteux.
  • L’installation est placée exactement là où l’eau est produite.
  • De plus, la surface de construction reste libre pour d’autres choses – une utilisation intelligente de l’espace qui s’avère particulièrement payante sur les terrains en pente densément construits comme à Zoug.

Quelle est la fiabilité à long terme d’un système de rétention par rigoles ?

Un autre point souvent discuté : la maintenance et la longévité de tels systèmes. Dans le cas des installations souterraines en particulier, il est important qu’elles fonctionnent non seulement lors de leur mise en service, mais aussi pendant des années.

C’est là qu’une exécution soignée porte ses fruits :

  • Le puits d’étranglement externe est facilement accessible.
  • Le système a été installé et documenté de manière professionnelle.
  • Les modules de rigoles utilisés sont durables, résistants – et nécessitent peu d’entretien.

Même si une rétention avec des rigoles n’est pas estampillée “sans entretien” : avec un contrôle visuel régulier et un minimum d’efforts, la fonction est maintenue durablement.

Que peut-on retenir de la référence à Zoug ?

C’est peut-être le plus important : les solutions ne naissent pas sur le papier, mais sur le terrain. À Zoug, c’est l’interaction entre l’existant, la topographie et l’idée de construction qui a fait de cette installation de rétention quelque chose de particulier.

Le projet montre comment la rétention avec des rigoles est réalisable même dans des structures existantes étroites – sans faire de compromis sur la sécurité ou la fonction.

Et cela montre que les projets réussis commencent là où les gens regardent attentivement, écoutent – et sont prêts à s’écarter de la norme.

Conclusion : utiliser l’eau de pluie à bon escient – même dans des conditions particulières

La pluie n’est pas un fardeau – si vous savez comment la gérer. Une installation de rétention avec des rigoles offre une solution viable même dans des conditions exigeantes. Et elle le montre : La construction durable ne signifie pas seulement efficacité et technique. Cela signifie également travailler avec ce qui existe. Apprécier ce qui existe. Et rendre possible la nouveauté – couche par couche, étape par étape.

Ist der Einbau einer Retentionsanlage mit Rigolen auch im Bestand möglich?

Ja, wie das Beispiel in Zug zeigt, lässt sich eine Retentionsanlage mit Rigolen auch innerhalb bestehender Strukturen realisieren. In diesem Fall wurde die Anlage innerhalb der alten Kellermauern eines abgebrochenen Hauses eingebaut – eine Lösung, die präzise Planung und Erfahrung voraussetzt, aber technisch gut umsetzbar ist.

Welche Vorteile bietet eine externe Drosselung in einem separaten Schacht?

Ein externer Drosselschacht – wie in dieser Referenz mit einem Betonschacht umgesetzt – verbessert die Zugänglichkeit für Wartung und Kontrolle. Er schafft räumliche Trennung zwischen Rückhalteraum und Drosseltechnik, was insbesondere bei beengten Verhältnissen sinnvoll sein kann.

Wie gross war die Retentionsanlage in diesem Projekt?

Die Anlage hatte eine Grösse von 3.20 x 8.00 x 0.66 Metern und ein Rückhaltevolumen von 16.23 m³. Diese Dimension wurde speziell an die vorhandenen Raumverhältnisse angepasst, sodass eine optimale Nutzung der Fläche innerhalb der bestehenden Mauern möglich war.

Wie läuft der Einbau einer solchen Anlage ab – braucht es dafür grosse Teams?

Nicht zwingend. In Zug wurde die Retentionsanlage mit Rigolen von zwei faparain-Spezialisten vor Ort eingebaut. Entscheidend ist nicht die Teamgrösse, sondern Fachkenntnis, Abstimmung mit den Gegebenheiten und eine sorgfältige Ausführung.

Welche Herausforderungen bringt der Einbau im Bestand mit sich?

Im Vergleich zum Neubau ist der Bestand weniger vorhersehbar. Einschränkungen bei Platz, Zugänglichkeit oder Bodenverhältnissen sind häufig. Umso wichtiger ist es, bereits in der Planungsphase mögliche Hürden zu erkennen und flexible, aber sichere Lösungen zu entwickeln – wie bei der Umsetzung in Zug gelungen.


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